Un boulot assez...divertissant. [rp privé Médor rt Rex, une fois que celui-ci peut rp] [+18]

Messages : 14 Date d'inscription : 18/05/2011

C'est une journée bien ordinaire. Assis à mon bureau, j'effeuille depuis les premières lueurs du jour le monseau de papiers envoyés par mes subalternes. Toutes, ou presque concernent mon travail en tant que directeur photographique, et photographe professionnel. Beaucoup me disent que je fais un travail fort plaisant, agréable et le genre de tatsouin habituels, mais d'autres sont des lettres de plaintes, me disant que la catégorie de photographie dans laquelle je m'étais lancé depuis tant de temps n'est en rien "normal" ou "acceptable" ou encore ce genre de fadaise associale et qui ne cherche même pas à comprendre l'interet de telles photo. Oui, mes photos ne sont pas conventionnelles, mais qui y a-t-il de plus beau que le corps d'un dog boy ou d'un pony boy ? Pour moi rien... Possédant moi-même mes deux modèles, mon cher Médo et mon cher Rex, je les cotois tout les jours et je peux vous dire qu'ils sont tout à fait adorables !
Enfin, le travail sur lequel je planche depuis les premières lueurs du jours est bien évidement de lire ces lettres, mais aussi de leur répondre...autant dire qu'il ne faut pas avoir des problèmes de sommeil...Heureusement que j'ai Médor avec moi et qui sait, parfois, me remonter le moral et m'occuper avec ses petites farces. Mais là, il dort à mes pieds.

Sa respiration lente et régulière, soulevant ses côtes, frottant doucement le latex qui lui servait d'habit, Ô quels délices, contre mes pieds nus qui n'étaient pas très loin de lui. Ce simple geste peut me faire tenir des heures sur mon travail. Qu'est-ce qu'il peut être mignone avec ses membre restreints pour donner l'illusion de pattes. Qu'est-ce qu'il est adorable avec son museau de latex et de cuir noir... Comme les meilleurs choses ont une fin, je change mes pieds de position, m'empêtrant dans la laisse qui le lie à ma chaise. Cruelle erreur pour ce si dévoué chien. Ayant peur qu'il n'interrompt son sommeil, j'ais presque finis, il ne faut pas qu'il me dérange, je lui caresse le crâne, afin qu'il n'ouvre pas les yeux et qu'il se rendorme. Ce qu'il fait, après avoir remué et gémit.

Pensant avoir évité le pire, je me remets au travail, lorsque le téléphone retentit, émettant son horrible son décharné et impitoyablement fort. *Maudit téléphone !*
Comme je le craignais, Médor sursaute en se réveillant.

Me réveillant en sursaut aux pieds de mon maître, je me heurte doucement auxdits pieds. Réveillé brutalement, je ne comprends la cause de mon réveille aussi, rapide que lorsque le téléphone émis sa deuxième sonnerie. Mon maître se penche sur moi et me caresse la tête gentiment avant de débrancher les combiné. S'ensuit une discussion à propos de sponsorisation de je ne sais quel évènements artistiques ou autre exposition. Bien réveillé, je dormais maintenant depuis plus de huit heures, je m'assis à la gauche de mon maitre et me mets à sa disposition pour d'éventuelles calineries. Cela ne se fait pas attendre. Tout en téléphonant, il passe une mains sur le haut de mon crâne et me caresse lentement avec douceur, allant jusqu'à la pointe du museau pour retourner sur le haut de mon crâne. Ce que je peux aimer ce genre d'attention. Dommage que Rex ne soit pas là pour en profiter avec moi, mais il est chez une amie de mon maître qui veut voir ce que la domination peut bien avoir comme intéret et avantages niveau sexuel.

Je suis donc le seul à profiter pleinement des calins de mon maître, cet homme si bon qu'il nous avait recueillit moi et mon frère alors que nous déambulions dans les rues sans savoir quoi faire, chassées de notre famille pour des raisons qui reste obscures pour mon esprit. Le sexe devenant dur, je ne bouge pas pour ne pas le frotter davantage, même si cela signifie qu'il soit bien en vue de cet homme si occupé par son interlocuteur. Cela ne me pose aucun problème que l'on puisse voir mon membre, mais il n'en fut pas ainsi depuis toujours...il a fallut un long apprentissage pour apprendre à être un bon chien pour mon maître. Et lui a été très bon et très patient à notre égard. Jamais il ne nous à montré des signes d'impatiences lorsque nous échouiions dans nos exercices. Mais à présent, sortir en laisse, à quatre pattes et le sexe ballotant à l'extérieur n'est absolument plus un problème pour nous. Et qui pourrait bien dire quelque chose ? c'est inscrit dans les lois que ce genre de pratiques étaient devenu légales depuis l'apparition des failles. Saintes failles ! Grâce à elle, on peut vivre nos fantasmes n'importe où et n'importe quand.

Mon maître continue, ô bonheur, à me caresser tendrement...

Messages : 14 Date d'inscription : 18/05/2011

Médor essaye, maladroitement, de me cacher son membre qui commence sensiblement à grandir. Je me doute que c'est à cause de mes caresser...il part très vite mon Médor adoré, mais c'est pour ça qu'on l'aime... Mais, ce nest pas le moment pour faire des choses un peu trop controversées...je dois terminer mon travail avant de penser à mes loisirs. Pour éviter que Médor ne m'ennuis encore en me déconcentrant, je me lève et je vais farfouiller dans un placard et prends des lanières en cuirs avec des fermoirs dorés et je vais vers mon petit chien.

Il y a bien une chose que je n'aime pas, c'est que l'on me déranges lorsque je travail. Même s'il s'agit de mes chiens et que c'est pour essayer de faire que je ne m'ennuis pas trop. De plus il ne reste que quelques lettres à faire. Donc ce n'est vraiment pas le moment de venir me dissiper. Je caresse encore un peu le dog au niveau du museau. Puis

"Médor, fais le beau !"

Mon maître avait l'air bien embêté lorsqu'il se leva de sa chaise. J'ai un drôle de sentiment lorsqu'il va vers ce placards que je connais bien pour être celui de ses jouets favorits. A savoir baillons, corde, lanières et tout ce qui faut pour un bon pet play. Mais quand je le vois revenir avec six lannières en cuir, vers moi, je me doute directement de ce qu'il veut faire. Je me tasse sur moi-même, parce que à vrai dire, je n'aime pas vraiment ce genre de pratiques. Je le regarde avec des yeux doux pour l'amadouer. Mais il y a peu de chance que cela marche chez lui... je l'ai dérangé, donc il va vouloir m'empêcher de continuerjusqu'à ce qu'il termine son travail. Je soupire, tentant encore de faire le beau pour me montrer gentil.

Je me mets même jusqu'à gémir doucement pour le lui demander de ne pas le faire... Mais quand il est assez proche de moi, il se mets à me caresser doucement la tête tout en me souriant gentiment. Puis, surement pressé, il m'ordonna de faire le beau. N'ayant pas le choix, j'obéis et me dresse sur le genoux et montre les pattes sous mon menton. Je gémis encore. Persuadé qu'il m'attachera serré avec les lanières pour me poser sur le lit, afin que je ne le déranges plus, je resterais longtemps dans cette position et il faut toujours un petit moment pour pouvoir retirer toutes les courbatures de mon corps qui y sont liées... Je n'aime pas ça du tout. Mais comme il est mon maître, je ne peux qu'obéir.

Messages : 14 Date d'inscription : 18/05/2011

Le pauvre, il n'a vraiment pas l'air de voiloir que je lui fasse subir une telle chose...mais bon, je dois me montrer ferme, il n'a pas prit en compte les règles que je lui avait imposées. A savoir, notamment, de ne pas me déranger quand je travaille, même si cela semble me plaire ou non. Il l'a transgressé, donc il doit être punit, un point c'est tout. Il gémit dans le but de me faire fléchir. Mais c'est peine perdu je suis bien déterminé à ça. En plus j'adore attacher mes esclaves, donc d'une pierre deux coups. Je lui baisse les bras qu'il avait monté pour faire le beau et je lui met une première sangle au niveau des coudes que je serre au corps avec une deuxième. Les bras sont immobilisés. Puis, avec une troisième sangles, je lui lie, très serrées, les jambes l'une contre l'autre. Avec la quatrième je lit les chevilles ensembles. La cinquième me serre à lui attacher les mains puis qu'il ne puisse pas les utiliser.

Ainsi saucissonné, je le prend dans mes bras et me dirige vers mon lit. La je le pose doucement, malgré ses protestations et j'utilise la dernière sangle, bien plus grande que toutes les autres, pour l'attacher au lit. Il est si mignon comme ça attaché comme un poulet avec sa tenue en latex aussi lisse et brillante...Je m'avance sur lui mais je me retiens au dernier moment. J'allais sauter sur lui pour faire des cochonneries... Mais c'est qu'il est si attirant... je le branle un peu juste histoire de me défouler...

Il l'a fait finallement. Ne pouvant plus bouger, je me mets à gémir lorsqu'il s'est mis à me branler. Gémir parce que j'apprécie beaucoup cette intention à mon égard. Il me branle si vite que cela commençait vraiment à faire longtemps que je n'avais pas été soit culbuté, soit que je ne l'avais pas fait. Et la, c'est lui qui me masturbe. Quelle sensation géniale. Finallement être attaché aujourd'hui ne me déplait pas tant que ça... Il me branle en plus de façons si experte...Je gémis vraiment de plus en plus fort et commence à avoir des frissons sur toute mon échine tandis que je me sens monter de plus en plus. Aboyant de temps à autre pour remplir mon devoir de chien, je me remus sous les sangles, bien que cela ne change pas grande chose vis-à-vis de la branlette. Bavant beaucoup dans le museau, un mince filet de bave coule dans le mince espace espace qu'il y a entre lui et ma peau.

La pression commence à monter de plus en plus et je sens, tout d'un coup, que tout se relache. Mon sperme sors de mon pénis avec une force qui le projette jusqu'au bout du lit. J'abois, heureux au centuple, de ce que viens de faire mon maître pour moi, comme excuse de m'avoir attaché au lit. J'aimerais tant pouvoir lui lécher la figure...

Messages : 12 Date d'inscription : 15/05/2011

Me voila moi Rex..dans le coffre sur le chemin du retour ...
en companie de cette femme voulent decouvire la soumission d'un dog elle a l'air contente.
Mais moi trop prece de revoir mon frere et mon maitre ils m'ont manquer !!
et voila plus qua quelque metre de mon chez moi !!
la voiture s'arrete devant notre maison
le coffre s'ouvre elle men par la laisse et me tire jusqu'a la porte et moi qui suis tous exiter je fait le beau!!
Elle sonne est la porte souvre et la Mon Maitre (touours aussi beau)
Il me detacha la laisse et m'ordonner d'aller dormir sur mon coussin j'exequta sans aucunne plainte et lui discuta devant la porte un bon 15min je crois et moi je m'endorm...zzZ zZz zZZ ZZZ ZZz

Messages : 14 Date d'inscription : 18/05/2011

Leila, cette chère femme à laquelle je tiens beaucoup, en tant qu'ami, et à qui j'avais prété mon Rex pendant plusieur jour est revenu pour me le rendre. Lorsque je vis sa voiture, j'abandonnais Médor sur mon lit et descendis les escalier pour lui ouvrir. Je la vis sortir mon chien du coffre, bon réflexe. Moi-même je ne les jugeait pas assez méritant pour voyager autrement. Quand elle vint à ma rencontre, et que Rex semblait content de me voir, j'ordonnais au chien d'aller se coucher, pour qu'il nous laisse tranquils. Quelques minutes plus tards, je discutais encore avec cette femme qui savait être gentille avec les animaux. Apparemment, posséder un être-humain en dog lui avait plut. Mais elle ne voulait pas aller plus loins, bien que cela ne m'aurait pas déranger de lui prêter mon jouet encore quelque temps.

Une fois cela réglé, je vis Rex allongé sur son coussin pret de mon bureau, qui dormait à poings fermés. Moi, déjà un peu excité par Médor, qui nous regardait en couinant un peu, je me penchais sur mon deuxième dog et le pris dans mes bras pour le poser près de Médor. Là, je l'attachais à son frère en 69, le tout en faisant le moins de geste possible pour ne pas réveiller Rex trop tôt. Une fois les visage pret du membre de leur frere, j'ouvir les tirettes des museaux et insérait le pénis de Médor, qui gémit beaucoup à cet attouchement, dans la bouche de Rex. Puis je fis de même avec Médor. Quand je me décidais à réveiller Rex, j'entendais déjà Médor en train de sucer son frère. Comme c'est touchant <3

Je donne une petite tappe à Rex

Messages : 12 Date d'inscription : 15/05/2011

Quelque petites secousse dans mon someil...
mais sans plus ,moi qui est le someil profond!
j'e me reveille avec un pti truc en bouche qui grosi ce serais je que je crois!
J'ouvre les yeux.... et que voige? le penis de mon frere
mon premier geste le sucer comme une sucette!
mais je remarquer que j'etait atacher!
pourquoi? je sais pas !
une punition? je pense pas!
mais quel bonheur.

Mon mâitre a eut l'une des meilleurs idées du siècle. Pourquoi ne nous l'avait-il pas fait plus tôt ce coup formidable. Moi qui rêvais d'avoir le droit de sucer mon frère, voilà que Altaïr, mon maître, se décida enfin à m'accorder ce bonheur. A peine eut-il mit le sexe de son second chien dans ma bouche, que je me mis à m'occuper de lui furieusement et avec appétit, déjà qu'on m'en donne l'autorisation, quel gaspillage que de ne pas en profiter me direz-vous... Dire que Rex ne s'était même pas réveillé quand j'eu commencé mon pompage intensif...Quel bonheur que de vivre tout ça. En chien, attaché, lié à mon frère de façon à nous procurer du plaisir, Ô dieu des chiens, nous ne pouvions pas mieux tomber Rex et moi...

Finallement, mon frèrot se réveilla et mit un peu de temps avant de se rendre compte de la position dans laquelle il était. Mais à peine l'eut-il comprit, qu'il se mit à me sucer en retour. Une espèce de décharge se produisit dans tout mon corps entravé. C'était trop pour un simple corps, je n'en pouvait plus. Ne pouvant les reprimer, je sentais des frissons parcourir tout mes échine et qui me faisaient vraiment bien trembler. Mon maître devait bien s'amuser à nous voi comme ça...

Messages : 14 Date d'inscription : 18/05/2011

Comme cela pouvait être adorable. Ces deux être, mes chiens, recouvert de leur tenus de latex qui, à peine réunis, se mettaient déjà à se...faire plaisir. Bon, d'accords, j'avoue leur avoir donné un petit coup de pouce, mais sans plus. A vrai dire c'est pour ça que je les adorais. On peut tout leur faire et leur faire faire. Quoi de mieux pour un homme dont le métier ce rapproche de cela ? enfin...l'essentiel était que, malgré les bruits de succions assez présents, je pouvais me remettre au travail tranquillement. Nom d'un chien, mon domestiques m'avait remit quelques piles de lettres sur mon bureau...Moi qui pensais pouvoir enfin m'occuper des deux frères...enfin. J'ai choisis ce travail après tout assumons. Afin de ne rien perdre de leurs "ébats", je plaçais une petite caméra en face du lit, de profil face à eux. De telle sorte que je pourrais par la suite leur montrer ce que cela donne en image, eux qui ne peuvent que le ressentir, aussi pour mon plaisir personnel ensuite.

Comme écrire des lettres avec ces bruits en arrière plans. Je ne cessais de me faire des films en tête...Ce soir je leur ferais la fête, ça ils pouvaient bien y compter. Avec tout cette excitation qui montait en moi, je n'aurais pas assez de deux soumis pour assouvir toutes les envies que j'accumulas.

Messages : 12 Date d'inscription : 15/05/2011

hum me reveiller avec cete sucette en bouche quel plaisir !!
mais un bonheur d’être attacher avec mon frere
et du coin de l'oeil mon maitre je le regardais ficsement
et je fermais les yeux de plaisir...
que va t-il se passer apres? bonne question

Je n'en pouvais plus de notre "activité". Non-seulement cela était un pur bonheur, mais je commençais vraiment à perdre mon souffle. Malheureusement, si on peut dire ça, nous étions attaché de telle sorte que je ne pouvais vraiment pas reculer la tête et donc me retirer de son sexe. Coincé donc...Altaiir, notre maître, n'a certainement pas dut se rendre compte que je souhaitais cesser, car il ne bougeais pas de son bureau. Du moins je ne l'entendais pas bouger. Rex, lui, continuait, sans vergogne à me lustrer le sexe tant et si bien que ce dernier restait dur malgré la durée de la fellation...je gémis un petit coup avant de me remuer légèrement sous les entraves.