Pauvre Saya (pv giotto)

Seule. Elle était seule dans cette cage et ne savait pas quoi faire pour bien pouvoir s'occuper un tant soit peu. Les gens passaient comme des promeneurs devant les cages des hybrides et des furry sans vraiment leur prêter la moindre intention autre que des regards furtifs et mauvais. Certains se demandaient si telle neko serait capable de faire son ménage sans défaut, d'autres se demande si tel ookami ferait un bon chien de garde...D'autres, plus lubriques, se demandaient si leur nouveau jouet seraient capable de prendre telle ou telle position que leur compagne n'arrivr pas à accomplir pour une raison quelconque. Oui, Saya devait supporter des journées entières à espérer ne pas retomber sur un maître horriblement sordide ou passablement coquins. Tout ce qu'elle voulait était un bon maître gentil avec elle et qui saurait bien s'occuper d'elle et surtout la nourrir comme il le faut, en tant qu'être-vivant et pas marchandise. Bien que l'hybride était venue de son plein dans cet enfer, elle a toujours été aussi maltraitée que les autres. Nourriture écoeurante et insuffisante, coups en abondance, injure, peu vêtue ou voire nue tout à fait quand un client l'exigeait...Elle en avait assez. Plusieurs crises passées, elle commençait à avoir un horrible mal-être. Elle ne pourrait supporter ça encore que peu de temps avant de devenir tout à fai folle.

« Et vous dites qu'elle est bien obéissante ? »

Encore un client à l'allure louche. Du moins, au goût de Saya.

« Bien sur monsieur. Mais...je dois vous prévenir... »

Le vendeur eut l'air gêné. La règle première de la boutique était de dire toutes les qualitées et tout les défauts de leurs produits. Il n'avait donc guère le choix, si il voulait garder son job. Job peu épanouissant au passage. La paye était minable, les collègues odieux...et quand à l'ambiance, autant ne pas en parler. Cela se reflètait sur les visages mornes des hommes qui y travaillaient.

« oui, je vous écoute...parlez mon vieux »

Il déglutit.

« Cette kitsune est sujette à des crises de...folies si on peut dire. On ne l'a observé qu'ici. Elle devient violente et dangereuse quand quelque chose semble trop la contrarier. »

Le client ne cilla même pas et déclara net que si c'est pour lui vendre une esclave incapable de se tenir correctement, pourquoi ne pas lui montrer des furry en liberté ? Il fit demi-tour et alla aux rayons des nezumis, « beaucoup plus calme »
Le vendeur, habitué à ce genre de sarcasmes ne dit rien et le suivait, aussi docile qu'un inu. Saya se retrouvait seule, une fois encore.

Aujourd'hui Giotto décida de se trouvé une petite et mignonne esclave pour lui tenir compagnie et l'amusé. Il parti donc à l'animalerie et marcha tranquillement ouvrant la porte et croisa un homme qui parti vers les nezumis suivi du gérant, Giotto parti dans l'autre sens et s'arrêta tous de suite devant la cage de Saya comme si il savait que c'était elle qu'il voulait.

" Tu es magnifique je crois que je vais te prendre. "

Regarde sa fiche et sourit.

" Saya veux tu venir avec moi ? "

Sourit tendrement et appelle le gérant qui vint le voir et qui previens Giotto des moments de crise de la jeune Kitsune. N'en faisant rien Giotto lui dit de préparé tous de même et un collier léger et fin pour pas lui faire mal.

" Alors veux tu venir avec moi ? "

" Saya veux tu venir avec moi ? "

Elle pensait rester seule pour un bon bout de temps mais à peine s'était-elle allongée que quelqu'un s'adressait à elle avec gentillesse. Sa curiosité piquée au vif, elle se retournait un peu trop vite et failli se rompre le coup se faisant. Elle ne sut pas quoi répondre en voyant le sourire du jeune homme. Elle se contenta de hocher la tête doucement, légèrement hébétée. Ne comprenant pas pourquoi, elle faisait déjà confiance à cet homme.
Ce dernier avait appellé le gérant qui ouvrit la porte à la kitsune et lui passa un collier rouge fins mais large. Elle sorti directement et alla se réfugier dans le dos de cet homme qui la libérait.

"Maître, c'est quoi votre nom ?"

Elle avait posé cette question sans vraiment s'en rendre compte et observait le visage de cet inconnu, ses oreilles dressées.

Souriant la voyant réagir a son arrivé elle s'était retourné rapidement a s'en faire mal et je fus surpris sur le coup. Ensuite ... bah elle hocha tous simplement la tête. Elle avait l'air confiant. Le gérant me passa le collier et la laisse puis le payant il s'en alla. Je mis doucement le collier et la laisse sans serré et elle se mit dans mon dos me demandant mon nom.

"Je me nomme Giotto Leyasu Sawada ... *sourit* Mais appelle moi Giotto"

Elle me regardait doucement et moi aussi puis je tira doucement sur la laisse la dirigent vers la sorti pour lui faire voir la lumière du jours. Ensuite je marcha lentement vers la plage tenant la laisse doucement laissant Saya avancé a son ritme et nous arrivâmes a la plage en plein milieu du couché de soleil qui descendais a l'horizon.

Un nom long. Saya n'était pas vraiment sure de pouvoir tout retenir, mais Giotto, ça elle pouvait retenir assez facilement. Deux syllabes...ça ne devait pas être trop compliqué pour elle...Enfin bon. Il se montrait déjà assez doux, l'hybride savait qu'elle vivrait heureuse, du moins, tant qu'il continuait sur cette lancé. L'emmenant doucement vers la plage, Gitto ne tirait pas fort sur la laisse. Laisse que Saya aurait bien voulut enlever.
Le soleil couchant qui les accueillait était d'autant plus magnifique pour Saya, que c'était son premier depuis des lustres. Sans preter attention à la vieille voix de sa mère qui lui rabachait dans son esprit qu'il ne faut pas regarder le soleil directement, la jeune hybrde ne put s'en empêcher et fixait paisiblement l'astre dont la lumière déclinait doucement. Une larme coula sur la joue de Saya. Cela faisait si longtemps... Si longtemps qu'elle n'avait pas put voir la lumière du jour (bien qu'il commençait à faire nuit :$). Elle un bout de temps avant de se retourner vers ce gars qui l'avait libéré. Mais elle n dis rien. Elle ne faisait que de le regarder en souriant, une fois encore. Que pouvait-elle bien dire ? Elle pourrait commencer par le remercier, mais à quoi bon, il devait savoir qu'elle le ferait, et surtout que son regard était assez éloquent pour quiconque prêtait un peu d'attention aux regards des autres. Pour elle, elle l'avait déjà suffisament remercier. Puis, s'en vraiment réflechir, elle alla dans ses bras et le serra fort un court instant, blottissant son visage dans le vêtement de Giotto. Il sentait bon. Une odeur inconnue pour Saya, mais il sentait bon. Après un laps de temps assez court, elle se retira et retourna face au soleil, afin d'en retenir une image plus longue et nette, au cas où elle se trompait sur le compte de cet homme. Mais elle en était certaine. Oui, Saya le savait, il serait gentil avec elle. Mais en même temps, elle le pensait pour son ancien maître qui lui aussi avait l'air gentil tout au début... Lui aussi lui avait parut être un homme bon et doux. Combien s'était-elle trompée finalement. Serrant les poings elle espérait en silence qu'il n'en serait pas de même avec Giotto...

« Dites, maître, on fait quoi maintenant ? »

Surtout qu'elle avait faim. S'étant remplie de Soleil, Saya sentait qu'il fallait remplir autre chose avant de mourir de faim, bien que ce soit de la gourmandise et pas de la nécessité... Rappellons-nous qu'elle est en partie une renarde...

Saya avais l'air émerveillé pendant le couché de soleil, elle en pleura même. C'est vrai qu'elle n'avait pas du voir très souvent le soleil toujours enfermé dans sa cage, dans se magasin. Mais maintenant elle était si on peu dire libre, mais a mes ordres. Puis à un moment donné elle alla dans mes bras et me serra fortement un cour instant. Au début je gardais les bras écarté comme surpris mais quand elle allait se retiré je la retins pour la gardé plus longtemps avant de la lâché puis elle me regarda et me demanda.

« Dites, maître, on fait quoi maintenant ? »

Avec un grand sourire je lui dis : "Nous allons chez moi ou tu va vivre et je vais te donné une chambre, mais avant nous allons mangé dans un restaurant Chinois sa fais un moment que j'ai pas mangé de nems"

Sourit tendrement et lui prend la mains et lâchant la laisse pour le moment et l'amène dans le restaurant chinois le plus luxueux de la ville et prend une table VIP avec buffet a volonté privé.